lundi 17 septembre 2018

Brumes à Boston I : Arrivée

C'était un vendredi et les nuages descendaient déjà sur la ville, Boston était doublement grise. Au cours de la soirée, les nuages se sont mutés en brume, et la ville, en conte de fées.

Cette série en trois actes cherche à capturer l'essence de cette transformation.

Première partie - Arrivée :
https://yannaudin.blogspot.com/2018/09/brumes-a-boston-i.html

jeudi 16 août 2018

5. Choix et paralysie, un essai

À la base de tout acte artistique se trouve un choix, et inversement, tout choix peut devenir un acte artistique. Il va alors de soi qu’avec une intention constante, une vie entière saurait devenir une œuvre.

L'article complet se trouve sur mon blog:


https://yannaudin.blogspot.com/2018/08/5.html

mercredi 1 août 2018

4. Le Spécialiste

Vous pouvez lire mon nouveau texte ici.


4. Le Spécialiste


"Il est difficile de me voir comme un spécialiste, peut-être parce que je suis un peu trop spécialisé, mon entraînement porte sur un sujet si précis que je ne saurai aisément transférer mes capacités.
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Quoi que l’on en dise, nous avons été entraînés à penser aux identités en termes de production et de création : Je suis ce que je fais.
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Ce concept et ces racines fragmentent mon identité déjà divisée et affaiblie par les différents groupes auxquels j’appartiens, crois appartenir ou appartenais.
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Peu importe le choix, il nécessite de devenir le héros conscient d’une narrative faite sur mesure pour et par soi-même (4). De s’entraîner à devenir un spécialiste plutôt que d’en accepter le titre : D’engager courageusement avec la vie, plutôt que de la subir."


Texte complet sur l'adresse de mon nouveau blog:

https://yannaudin.blogspot.com/2018/07/4-un-specialiste.html?m=1

lundi 25 juin 2018

2. Solstice National

Retrouvez moi sur mon nouveau blog: http://yannaudin.blogspot.com/ .
J'y parle de la Saint-Jean-Baptiste et de mes souvenirs d'enfance.
"C’est donc dans une atmosphère festive et entouré d’inconnus que naissaient à la Saint-Jean-Baptiste de rapides amitiés et romances, des jeux et trahisons. Durant une des plus courtes nuits de l’année, le temps s’arrêtait comme figé en un éternel crépuscule.
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Yann Audin, enfant de 7, 8 ou 9 ans, ne se demande pas pourquoi on fête, qu’est-ce qu’il y a à célébrer. Il ne comprend pas encore l’idée d’un peuple, ni celle d’un peuple québécois.
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Mais je m’insurge ici, car la vie comme l’histoire, ne saurait être gagnée. Nous ne sommes pas défaits par la défaite, seulement, au mieux, retardés. L’existence est une lutte incessante et la nôtre est vieille de 400 ans."